Votre panier

Votre panier est actuellement vide.

Trouver chaussure à son pied…et à son WOD. 

S’il est un accessoire qui est tout sauf accessoire lors de nos entraînements, c’est une bonne paire de chaussures.

Rien ne sert de dilapider ses économies en vêtements de sport si vous vous entraînez avec des « sabots » ou même des baskets de running. Certes, ces dernières ne poseront aucun problème pour du conditionnement métabolique, mais ça risque de tanguer dès qu’une barre pointera le bout de son nez. En effet, les chaussures de running ne sont pas adaptées à l’entainement type WOD (vous pourrez demander confirmation à vos coachs) en raison de l'amorti qui n’est pas nécessaire dans norte pratique. 

Oui mais voilà, au fil des ans, tous les équipementiers – ou presque- y vont de leur modèle. Choisir celui qui est le plus adapté à nos attentes est parfois plus casse-tête que de compter son nombre de reps sur un Chad. Pour vous aider, nous vous proposons un petit récapitulatif. 

Reebok

Reebok, c’est un peu l’historique de l’étape – tout le monde ou presque regrette ses increvables Nano 4. À la différence de la Metcon (chez Nike), dont le profil général n’a que peu évolué au fil des ans, la Nano change souvent de look. Connue pour son confort, la Nano offre un bon amorti – bien meilleur que la Metcon –  grâce à la mousse Floatride Energy, conçue pour offrir un accueil moelleux lors des runs et des sauts. Avec une toe box généreuse, elle permet aux pieds larges de prendre leurs aises. C’est pourquoi vous entendrez souvent les “pro-Nano”dire : “c’est des chaussons”. Toutefois, ce côté « confortable » est parfois perçu comme un manque de maintien tandis que la refonte de la chaussure, modèle après modèle, rend le choix de la pointure un peu hasardeux. 

TYR 

Venue du monde de la natation, la marque TYR frappe fort avec ses toutes premières chaussures dédiées à l’entraînement fonctionnel. Une chose est sûre : les CXT-1 n’ont rien à voir avec des palmes. Elles se démarquent par une grande stabilité, assez bluffante lors des entraînements. Une stabilité rendue possible, notamment, grâce à la matière, assez rigide, au niveau du talon. On y trouve même un renfort pour les HSPU. Comme chez Nike.. L’avant de la chaussure est souple ce qui permet de nous offrir le meilleur des deux mondes : confort et soutien. La matière à l’avant du pied, flexible et respirante, peut soulever quelques inquiétudes lors des premiers jours d’utilisation. Est-elle durable ? Après plusieurs semaines d’entraînements quotidiens, elle est comme neuve, en dépit de pas mal de rope climbs. On notera une toe box assez étroite – mais nettement moins que les Metcon – ce qui devrait satisfaire la plupart des athlètes. 

Nike 

Chez Nike, le modèle dédié à l’entraînement fonctionnel est : la Metcon. Aujourd’hui dans sa huitième version, chaque nouvelle mise à jour conjugue innovations, reprise des caractéristiques qui ont fonctionné précédemment, et correction des problèmes. Ainsi, la Metcon 7 et, in fine, la 8, intègrent une languette pour bloquer les lacets – qui se faisaient la malle jusqu’à sa sixième mouture. Du mesh, couplé à des renforts sur les zones d’usure, en font une chaussure à la fois durable et plutôt respirante. Le clip au talon évite de transformer la basket en parmesan lors du moindre contact avec un mur. La semelle, plutôt fine, n’offre que peu d’amorti sur le run, tandis que la toe box – la zone à l’avant du pied – s’avère assez étroite, ce qui conviendra davantage à des pieds plutôt fins.

Ainsi, pour résumer plus largement par marques : 

Reebok : marque historique, souple, confortable, large toes box

Nike : innovante, respirante, toes-box plutôt étroite

Tyr : marque récente, technique, stable, rigide, toes-box plutôt étroite et, in fine peut ressembler à Nike

Article co-rédigé avec Clémence SIMON