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Tyr, tu connais?

   Vous n’avez pas pu passer à côté de l’information ! Il y a un nouveau shérif en ville. Ou, du moins, un nouvel acteur qui lorgne du côté de notre sport. Ce petit nouveau, c’est TYR, qui vient s’ajouter à une cohorte de marques déjà très nombreuses (voire trop nombreuses selon notre banquier).
Sans vouloir paraphraser le jeu que vous risquez de subir lors de l’aprèm de Noël avec vos neveux et nièces : qui est-ce ?
   Tyr, c’est un grand mec blond avec des bibis de l’espace. Un brin cleptomane, le gars a piqué le plus gros marteau qu’il pouvait trouver chez Bricorama. Peut-être un problème d’ego, du moins si on s’en tient à une approche freudienne. Bref, c’est le dieu des guerriers (et peut-être celui des bricolos du dimanche), aussi connu sous le nom de Thor. Il préside aussi à la justice, de la victoire, de la stratégie et règne sur le ciel. Autant dire qu’il ne doit pas faire un 35 heures.
Pour résumer, la marque puise son inspiration dans la mythologie nordique – et pas dans les blockbursters Marvel, n’est-ce pas. Et à part ça ?
   Tyr, c’est d’abord un combo chlore et pédiluve puisque la marque vient de la natation. Oui, Splash (ref de Master) se met à faire des HSPU. Elle a été fondée en 1985, par Joseph DiLorenzo et Steve Furniss, médaillé olympique au 200 mètres 4 nages. Tyr est, notamment, l’équipementier de la Fédération Française de Natation.

   Depuis 2021, Tyr lorgne au-delà du grand bassin et espère conquérir le monde de l’entraînement fonctionnel. Pour ce faire, la marque se la joue aussi agressive qu’un coup de boule pour monter un muscle-up. Au printemps 2021, elle a nommé Corey Berger, coach, compétiteur et titulaire du Level 1, aux manettes d’un département spécialement destiné à cibler les amateurs de wallballs, dumbbells et autres handstand walks. Tyr, en mode Hunger Games, s’est aussi adonné à un largage de chaussures au moment de différentes compétitions, allant même jusqu’à créer un modèle qui sortira spécialement pour la prochaine édition de Wodapalooza. Autre fer de lance ? Une écurie d’athlètes qui donne envie d’acheter des leggings. Tyr a signé des athlètes comme Pat Vellner, Guiherme Malheiros, Annie Thorisdottir, Noah Ohlsen, Travis Mayer, Amanda Barnhart, Bethany Shadburne, Emma Cary, Meg Reardon, Will Moorad, Saxon Panchick, Kristine Best, Ricky Garard ou encore Lazar Dukic.

   Si les ricains ont encore une longueur d’avance sur nous niveau choix et gamme de produits, de plus en plus de références font leur apparition chez Wodabox. C’est notamment le cas des excellents leggings High-Rise pour les femmes ou du très bon short de compression Solid pour ces messieurs.

   Les adeptes des gros logos passeront toutefois leur chemin puisque Tyr a troqué le placard qu’on pouvait voir sur la jambe du legging – notamment sur différentes athlètes féminines lors des compétitions, contre un logo bien plus discret, sur la ceinture. Parce que, bon, si tes fringues flirtent avec les gens qui écrivent en majuscules sur le forum Doctissimo, ça devient inquiétant.

   Et en parlant de Doctissimo, sachez que nos parties génitales sont à l’abri d’éventuels problèmes type camel toe ou baloches en balade puisque rien ne bouge. Toutes les parties de notre corps restent à leur place, sans pour autant mariner comme un vieux hareng au fond d’une caisse du rayon poissonnerie. Niveau design, pour l’instant, pas de craquage en vue d’éradiquer toutes les personnes épileptiques du monde – comme ça peut être le cas de certains maillots de bain – du noir, du kaki, Tyr fait dans la sobriété. Bref, la marque se lance avec de bons basiques, faits pour la performance et pas pour tourner une nouvelle saison des Kardashian. Et ça, c’est plutôt une bonne nouvelle.

 

Article rédigé par Clemence Simon

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